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cécile pivot
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« Cet atelier était leur bouée de sauvetage. Il allait les sauver de l'incompréhension, d'un deuil qu'ils ne faisaient pas, d'une vie à l'arrêt, d'un amour mis à mal. Quand j'en ai pris conscience, il était trop tard, j'étais déjà plongée dans l'intimité et l'histoire de chacun d'eux. » En souvenir de son père, Esther, une libraire du nord de la France, ouvre un atelier d'écriture épistolaire. Ses cinq élèves composent un équipage hétéroclite : une dame isolée, un couple confronté à une sévère dépression postpartum, un homme d'affaires en quête de sens et un adolescent perdu. À travers leurs lettres, des liens se nouent, des coeurs s'ouvrent. L'exercice littéraire se transforme peu à peu en une leçon de vie, dont tous les participants sortiront transformés. Roman initiatique pétri de tendresse, ces Lettres sont un éloge de la lenteur, une ode au pouvoir de l'écrit.
Le livre séduit par sa simplicité et son humanité. Marie France.
Une réussite que ce roman qui cache bien son jeu. Au-delà des maux, les mots salvateurs de Cécile Pivot dessinent les voies du mieux-être. Revigorant. L'Express. -
Quand la mort nous fait redécouvrir la vie Un matin, Izia regarde son mari quitter l'appartement où ils ont élevé leur fille, Zoé, renversée par un chauffard quelques mois auparavant. Elle n'a pas un geste pour le retenir, soulagée d'être seule avec son chagrin, libre de s'enfermer dans la chambre intacte de son enfant.
Mais, au fil des jours, la faim, le besoin de marcher, de sentir le soleil sur sa peau, reviennent. Izia comprend qu'elle doit vivre cet « après » et trouver une activité où nul ne sait rien de sa perte. Ainsi devient-elle une drôle de déménageuse, aidant ceux qui ne savent pas ou ne veulent pas jeter, trier, ranger, vider.
Sa rencontre avec Samuel, un jeune homme au franc-parler déconcertant, et toutes les personnes que son travail insolite mettra sur sa route sont les premiers fils bien fragiles qui ramèneront peu à peu cette femme perdue vers la vie.
À propos de l'autrice Femme de lettres, journaliste, Cécile Pivot publie avec Mon acrobate son troisième roman. Elle a reçu pour Battements de coeur le prix de Littérature du Lions Clubs Île-de-France et pour Les Lettres d'Esther le prix du Roman qui fait du bien, le prix du Grand SaintÉmilionnais et le prix littéraire de l'Union Interalliée.
« Une réussite sur un sujet complexe [...] Un roman à la fois noir et lumineux. » Mohammed Aïssaoui, Le Figaro « Un roman d'une grande beauté, sensible et délicat. » Isabelle Raepsaet, La Voix du Nord « On lit ce texte d'une traite, le coeur dans un étau, touché par ces personnages en quête d'apaisement et d'un retour à la vie. » Virginie de La Batut, Femme Actuelle « Cécile Pivot livre un nouveau texte bouleversant. On le lit avec une boule au ventre, entraîné par la force et la profondeur des personnages, mais déchiré par un scénario aussi simple qu'implacablement violent. [...] Aux quelques proches qui connaissent son histoire, Izia rappelle qu'ils ne peuvent rien imaginer de son anéantissement. II en est de même pour le lecteur, tout à la fois terrifié et captivé par une si belle et si puissante écriture. » Matthieu Marin, Ouest-France « Un sujet si grave traité avec délicatesse et finesse psychologique. Une histoire d'amour bouleversante. » Librairie Furet du Nord « Avec ce récit grave qui met l'accent sur le deuil contre nature, la souffrance et la résilience, Cécile Pivot réussit à créer une histoire bouleversante et terriblement touchante. Un texte de toute beauté. » Faustine Meysonnier, librairie Gibert Joseph (Dijon), Page des libraires -
« Elle aime la ville, lui la nature. Elle aime la mer, lui la campagne. Elle lit beaucoup, lui peu. Elle est bordélique, lui est maniaque. Elle se couche tard, lui s'endort tôt. Elle goûte les bourgognes, lui les bordeaux. Ces dissemblances deviennent vite un jeu entre eux. Ils se séduisent, se défient, tentent de se convaincre qu'ils ne sont pas faits l'un pour l'autre, mais c'est perdu d'avance et ils le savent. Sans se l'avouer, ils font le même constat : ils n'ont rien en commun et c'est ça qui est merveilleux. ».
Tout oppose Anna et Paul, et pourtant ces deux grands solitaires vont s'aimer. Passionnément. Un amour si dense, si parfait qu'il suffirait d'un rien pour qu'il vole en éclats.
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Cécile Pivot s'adresse à Antoine, son fils de vingt-deux ans. Elle lui raconte les débuts, sa petite enfance, incompréhensible, où elle savait que quelque chose n'allait pas mais que personne ne prenait ses doutes eu sérieux. Et ce jour où les mots « troubles autistiques » ont été posés, enfin. Puis la vie après le diagnostic : les erreurs, les joies, les colères, les fous rires... Elle n'édulcore rien, ni les rendez-vous chez des médecins parfois incompétents, ni les difficultés à trouver une structure d'accueil et encore moins ses propres manquements et questionnements.
Ce récit, elle le porte en elle depuis la naissance d'Antoine, prenant des notes, figeant dans l'écriture l'intensité d'instants inoubliables, drôles ou tragiques, rocambolesques ou quotidiens, dont elle savait qu'elle tirerait un livre.
Ce livre, que, probablement, il ne lira jamais.
Une formidable lettre d'amour. Elle.
La gorge se noue dès les premières pages. Le Parisien.
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James & Joyce , deux chats qui ne sont pas nés de la dernière pluie
Cécile Pivot
- Casa
- 29 Janvier 2021
- 9782380581003
Votre chat n'aura plus de secrets pour vous.
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Le Goût des autres : L'album photo de Bernard Pivot
Agnès Pivot, Cécile Pivot
- Calmann-Lévy
- 30 Octobre 2024
- 9782702192962
« Pour ce livre, mon père a investi mon bureau. Il y a pris toute la place, que je lui ai laissée bien volontiers. J'ai passé mes journées à son côté, lu des dizaines d'articles, revu ses émissions. Je voulais qu'aux photos sélectionnées, piochées dans ses albums, soient associés des documents écrits, citations, témoignages, interviews, extraits de livres, tweets... Rendre compte du formidable journaliste littéraire qu'il fut, mais pas seulement. Il était un amateur passionné de football et de vin, et un fin connaisseur, du breuvage comme du ballon rond.
Il vouait un autre amour indéfectible, à la région de son enfance, le Beaujolais. Il avait le goût des autres, savait apprécier les bonheurs de l'existence à leur juste valeur. La chance l'a presque toujours accompagné, il n'a eu de cesse de la remercier. Il a aimé la vie, me semble-t-il, comme peu de gens l'aiment. Elle le lui a bien rendu. »
Cécile Pivot
De son enfance à l'académie Goncourt, de Lire à Bouillon de culture en passant par Apostrophes mais aussi par des parties de football ou des vendanges en
Beaujolais, cet album très personnel retrace la vie de Bernard Pivot. Dans ces pages, les lecteurs retrouveront avec bonheur et un brin de nostalgie la passion et l'enthousiasme qui animaient ce grand amoureux des mots et des livres.
Avec un texte de Pierre Assouline de l'Académie Goncourt. -
Bernard Pivot, lecteur professionnel (« Apostrophes », Lire, JDD) et sa fille Cécile, ardente lectrice amateur, confrontent leurs raisons, plaisirs et manières de lire, leur usage des livres, dans des textes très personnels, où le public des librairies et des bibliothèques retrouvera ses émotions, et celui qui n'ose pas en pousser les portes découvrira stimulations et conseils. Un tonique et savoureux éloge des écrivains, des livres et de la lecture.
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Le papotin ; trente ans d'écrits libres et atypiques
Cécile Pivot, Driss El kesri
- Kero
- 18 Septembre 2019
- 9782366584097
Ils sont talentueux, drôles et incisifs, ils sont tour à tour journalistes et poètes, ils débattent de philosophie avec Raphaël Enthoven, discutent cinéma avec Vincent Cassel, musique au côté de Matthieu Chedid. Ils s'appellent Arnaud, Fabrice, Philippe, Esther, Carole, Laurent, Balthazar... Ils sont atteints de troubles du spectre autistique - ils sont Le Papotin.
C'est l'histoire d'une volonté, celle de Driss El Kesri, éducateur et fondateur du journal, soutenu par les psychiatres de l'hôpital de jour d'Antony, Gilles Roland-Manuel et Moise Assouline... Trente ans plus tard, la vocation et la réussite de cette revue restent entières : offrir l'opportunité à ces jeunes de partir en voyage, rencontrer personnalités politiques et artistes, aller au cinéma, au théâtre, et révéler des plumes foisonnantes et singulières.
Outre les textes poétiques des Papotins et leurs étonnantes interviews de personnalités comme Nicolas Sarkozy, Leïla Bekhti, ou encore Daniel Pennac, l'écrivaine Cécile Pivot et Driss El Kesri reviennent sur trente ans d'une drôle d'aventure : l'occasion de se remémorer les débuts, les joies, les moments de grâce, mais aussi les galères, l'incompréhension souvent, la difficulté de vivre dans la maladie. Une histoire qui raconte en fi ligrane celle de l'évolution de l'intégration sociale, scolaire et professionnelle des personnes porteuses de handicap dans notre société.