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Donner A Voir
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Le feu. Image de la vie, pétillante ou éteinte. Miroir de nous-mêmes propice à tous les crépitements de la réflexion...
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Existe-t-il désir plus grand que celui de vivre ? De vouloir vivre et tout déborder ? Le poète Luc Mana) énonce ici ce qui le pousse au-devant de lui-même et des autres : géographies, lumières, couleurs, sensations, émotions, le temps et l'espace soudain accordés en un feu. Les encres de Nour Cadour s'accordent avec force et allégresse à cet élan vital. Marilyse Leroux.
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Chrisophe Jubien qui pense que la poésie a la place du coeur dans le corps humain nous entraîne dans son quotidien de poète : nature, jardin, animaux, maison, famille, personnes, lui-même... Son oeil attentif, tendre et aimant, sait capter en raccourci les cocasseries de la vie, l'improviste révélateur des réalités cachées, les injustices aussi, les dangers, les douleurs secrètes. (Marilyse Leroux)
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Celui qui écrit des poèmes pourrait être tenté de croire en sa toute puissance. Pourtant, la démarche du poète est d'abord celle de l'accueil et de l'humilité. Le chemin de l'écriture fait osciller l'auteur entre l'impérieuse nécessité de dire, l'éblouissement des possibles, la facétie des mots qui le portent autant qu'il les dit. Un lent et patient travail d'écoute, avec ce qu'il faut de recul pour les entendre tous et ce qu'il faut d'humour pour les accepter. Alain Boudet
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Evoquer la maladie n'est pas simple. En poésie pas plus qu'ailleurs. Parler de ses lendemains n'est pas aisé non plus. Mais c'est ce que fait Chantal Couliou dans ce petit livre où la tristesse ne pèse pas le poids du plomb. De la justesse, de la délicatesse, de la tendresse, de la pudeur sur un chemin qui est celui d'une manière de renaissance...
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Fixer l'instant. Le regarder droit dans les yeux. S'abandonner alors - en clignant du coeur - à la rêverie. Et puis, soudain, parfois, trois petits vers, pas plus, qui viennent dire, juste là, l'essentiel : une impression légère ou grave, ou les deux à la fois, dérobée à l'instant, par ce menu filet de syllabes. Pas plus... Oiseaux, feuilles, vagues, nuages, réverbères ou poings levés, suivons-le à pas menus sur ses chemins de vie.
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Enhardi par le vent qui souffle sur tes mains, tu brises le silence et tu marches. Regards croisés, entrelacs, lueurs et reflets... la poète Chantal Godé-Victor nous invite à une traversée du temps et des saisons à travers ses poèmes et ses dessins, long chemin de vie au fil déroulé parmi tes pierres, les bois, les sentiers, le « frémissement de l'eau ». Marilyse Leroux
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La Langue verte, c'est une langue qui râpe, qui écorche, égratigne et déchire. Une parole lancée qui ne tourne pas soixante dix-sept fois dans la bouche mais qui jaillit et explose... Une parole enracinée dans la révolte.
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Comme ses pistaches, Valérie Huet joue avec la poésie de ses étals et nous amène a en reconsidérer a l'unité, en bottes ou en principe, les menues choses Légumières ou fruitières. La délicatesse des illustrations de Marianne Salmas accompagne sa démarche.
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Partir, / s'absenter parfois, quitter, abandonner, fuir, / S'alléger pour mieux être et mieux aller. / Chercher aussi, comme un départ, nouveau, / se mettre en quête. Des autres. De soi. / Partir, même immobile. / Partir.Dans tous les sens. / Alain Boudet
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Recueil de Jean-Claude TOUZEIL accompagné d'encres d'Henri GAY. Une pépinière d'arbres du monde entier arrosés d'humour et de tendresse.
«Une forêt qui pousse fait moins de bruit qu'un arbre qu'on abat.»(Proverbe chinois).
Peuples d'arbres est aussi un CD (MC 009) dans lequel on peut retrouver plusieurs poèmes mis en musique et chantés par Martine Caplanne.
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Corbeaux d'autoroutes et de garennes
Jean Foucault
- Donner A Voir
- Les Petits Carres
- 1 Mars 2011
- 9782909640778
Les corbeaux sont d'étranges oiseaux. Ils nous fascinent parce qu'ils nous ressemblent. Jean Foucault, toujours par monts et par vaux, en est un fin et fidèle observateur. Il nous livre dans ces poèmes les chroniques de ces oiseaux nos semblables, méfiants, grégaires, opiniâtres et fiers. Yves Barré s'est assis an bord des champs pour tous observer lui aussi, et en délivrer pour nous des images. Alain Boudet
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Publié à l'occasion du Printemps des Poètes, en mars. Jeux de mots, calembours, pensées profondes ou à-peu-près réjouissants, ces textes de Jean-Claude TOUZEIL commencent tous par est-ce que.
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Première édition : 1998 Publié à l'occasion du Printemps des Poètes, en mars. À partir d'images infographiques d'Yves BARRÉ, exposées au Pavillon François Reichenbach de Loué (Sarthe), Alain BOUDET a écrit. Complicité des mots et des images. Imprimé sur rustique blanc, couverture brune, illustrations couleurs.
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C'est dans les pourpres et les ors de l'automne que l'année commence vraiment. Dans l'enfouissement de la lumière et l'éclat des feuillages, tout à la fois. Les mots s'égouttent, la parole s'affûte dans les gris, aspire aux pastels tendres des feuillages.
L'année s'exprime.
Tout est dit au marcheur quand il sait écouter.
Alain Boudet vit dans un village de la Sarthe : Louplande.
Dominique Mansion habite un village du Loir-et-Cher : Boursay.
Ils ont en commun quelques amis : chênes et fresnes têtards, refuges et pièges pour la lumière.
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Roissy la nuit...
Aux portes de l'aéroport, des voyages et des rêves, l'espace de la gare accueille les errances. Le voyage est tout autre. Il n'est plus question d'aller ni de retour. Simplement de trouver un lieu où poser sa détresse.
Vivre à Roissy, la nuit, entre exil et asile...
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«Les portes de fer avec des vieux rouges, des bleu délavés, des verts tachés de rouille, des jaunes passés étaient les rares couleurs que donnait à voir ce quartier fermé et les arabesques de métal, les formes enlacées des grilles étaient des visages et des présences compréhensibles. Ces ouvertures vers le monde, ces passages, ces carrés ou rectangles comme des cadres ou des écrans, chérissant la vie ou claquemurant la mort, devenaient des petits bouts de parole dans le silence du papier», écrit l'artiste Matt Mahlen après son voyage au Maroc en 2013.
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écrits au pied de la lettre
Simon Martin
- Donner A Voir
- Les Petits Carres
- 1 Janvier 2010
- 9782909640648
Ces petits bouts de rien qui font la vie des jours tissent de couleurs bien familières le recueil de Simon Martin. Les illustrations sont de Guillaume Martin, affaire de famille.
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Original, ce «Petit Carré» : autour d'un travail en commun sur le thème de l'après-vie, devenu ici «Passion», trois créateurs se sont retrouvés, qui déjà avaient oeuvré ensemble.
Michèle Lévy a écrit ce texte où se mêlent passion humaine et passion spirituelle.
Par ses encres, Roger Blaquière en a exprimé toute la force lyrique.
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Sur ma table
Marilyse Leroux, Consuelo De mont-marin
- Donner A Voir
- Zipoe
- 15 Avril 2019
- 9782900012055
On pourrait la croire bien banale, la table de Marilyse, avec ses quatre pattes et son plateau de bois. Détrompez-vous, c'est une table extraordinaire, dotée de multiples pouvoirs... Tantôt planisphère, elle vous transporte en un clin d'oeil à l'autre bout du monde en train d'épousseter le Mont-Fuji !... Tantôt machine à remonter le temps, on la caresse de chaque doigt de la main et elle nous propulse jusqu'à l'arbre dans lequel on l'a taillée. Parfois, une végétation sous-marine s'y installe ou des oiseaux s'y posent, c'est magique !... La chatte dort, tranquille, et la journée ronronne au ralenti... Au travers des courts poèmes de Marilyse Leroux, le pouvoir des mots joue le premier rôle : il nous entraîne pour de fabuleux voyages qui décoiffent le réel et repeignent le monde. D'autant plus que les dessins de Consuelo de Mont Marin participent allègrement à cette fête : ils sont à la fois vifs, colorés, malicieux et complices...
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« Pour tous les souvenirs qui fraient sous l'essentielle lumière des yeux... Au plus loin de ma vie, dans le vacarme incessant où se déchirent les matins jeunes, il fut un lieu clos, un jardin où le ciel reposait dans la douceur du Vivre et le bonheur d'une famille. » C'est ainsi que Léon Bralda introduit le poème, rendant hommage à la famille de son plus vieil ami d'enfance... Impérieuse nécessité pour ce poète que de toujours revenir par le travail d'écriture à la maison natale, en ces abords de la jeunesse qui ont irrémédiablement façonné sa perception du monde.