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Ecarts
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Quand Igor a rendez-vous avec vous à Villefranche-de-Rouergue, il n'est pas rare qu'il soit en retard. Pourquoi ? Parce qu'il trouve des ronces sur son chemin ! Cette expression très locale indique qu'Igor n'ignore personne et prend du temps avec chacun. C'est de ce quotidien peuplé d'interactions qu'il nourrit son trait. Ses motifs et lui étaient évidents pour Love parade. Alors, il a d'abord lu un poème par jour au petit déjeuner, puis dessiné une suite abstraite de signes, un peu pareils mais toujours différents comme la poésie, comme la vie !
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La poésie est une des facettes de l'écriture de Pascal Dessaint. Il a choisi le Petit Écart pour publier ce recueil d'inédits dédiés entre autres aux oiseaux, chers à l'auteur.
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... y el origen era el agua / ... et l'origine était l'eau
Nora Herman
- Ecarts
- Hasta Siempre
- 26 Novembre 2003
- 9782912824554
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Sans prétendre ni feindre de le posséder, j'ai toujours essayé de donner ce que je n'avais pas. De mai 2016 à janvier 2017, ce recueil s'est fait tout seul, dans une sorte de lâcher-prise, si l'on exclut le travail que m'a coûté de l'écrire moins que de le parler. Il m'a tenu lieu de vie et le titre s'est imposé de lui-même, dès le début. J'aimerais qu'il ne fasse pas l'objet d'un malentendu ; le sens des textes qu'il rassemble s'y trouve, pour une grande part, contenu. Qui je suis et ce que j'ai fait, avant, ailleurs et autrement, je préfère qu'on le laisse en blanc. J'offre ce livre à ceux qui sauront y trouver, çà et là, quelque chose qui leur appartient déjà à ceux qui, au gré des pages, trouveront le galet qu'ils auront envie de ramasser pour le retenir, le garder, quelque temps... au fond de leur poche. C'est pour eux qu'il a pris le risque d'exister.
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Ce texte de Jacqueline Starer est paru en 1987 aux Editions Maurice Nadeau, Paris.
Cet ouvrage constitue la véritable introduction à l'ouvrage bilingue "oeuvre poétique 1934-1969 de Keith Barnes".
K.B. édition bilingue ( traduction Anglaise par Helen McPhail aux "éditions d'écarts" )
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Réunit les 89 poèmes des trois recueils de Keith Barnes (1934-1969) de manière thématique : poèmes d'amour, sur le couple et la famille, poèmes inspirés par la 2ème guerre mondiale vécue à Londres, sur l'après-guerre et sa réalité sociale, sur l'écriture et la mort...
Marquée par la tendresse mais aussi par l'humour et le sarcasme, la voix de Keith Barnes s'élève entre celle des " Angry Young Men " et celle de la " Beat Generation ".
L'actuel choc des cultures révèle sa pertinence.
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The waters will sway ; die wasser werden schaukeln
Keith Barnes
- Ecarts
- Grand Ecart
- 1 Mars 2011
- 9782912824820
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Faire de l'écriture, dans l'intensité, un partage d'émotions et d'interrogations, tel est mon souhait.
Pour moi, la poésie est à la littérature ce que la musique de chambre est à la musique: sa part la plus secrète, la plus exigeante. C'est à mon sens, une des meilleures manières de vivre sans être détourné de soi-même pour autant qu'on y voie, pour évoquer Thomas Mann, une consolation.
«Le poète apporte non pas des preuves, mais des traces. Seules les traces font rêver» écrivait, quant à lui, René Char...
J.-L. W.
Jean-Luc Wauthier est né à Charleroi, en novembre 1950. Professeur de Littérature, il a publié une vingtaine d'ouvrages, poésie, prose, monographies qui ont obtenu de nombreux prix.
Rédacteur en chef du journal des Poètes, il est aussi Vice-Président de la Maison internationale de la Poésie «Arthur Haulot» (Bruxelles).
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» Ici personne ne meurt «, lisons-nous dans ce cahier. C'est bien avec une rare ingénuité que Martin Melkonian en appelle à l'inscription calligraphique puis typographique : à une vérité de l'être mis en pages. Cette vérité ouvre un espace ou plutôt s'ouvre à l'espace du livre. Grâce à sa présence architecturale, sa respiration spécifique, le blanc des pages y est sa demeure. La perte annoncée dès l'ouverture (le titre) réside dans le «lâcher» de l'inscription ; le gain, dans le cahier fait livre. Et puisque, répétons-le » ici personne ne meurt «Un cahier pour se perdre invite à l'exploration de très anciennes traces mémorielles. Le lecteur dont le geste originel est de se pencher, éprouvera à coup sûr le vertige. Le vertige en poésie.
Martin Melkonian est l'auteur d'une quinzaine d'ouvrages. Il a publié aux éditions d'écarts : Conversations au bord du vide, Edward Hopper luttant contre la cécité, Les corps introuvables, Un cahier pour se perdre, L'enfance du regard.
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La rencontre du regard et du désir alors que le désir s'inquiète de sa disparition prochaine. Une conférence. Mais c'est celle d'un inexpert d'un » maître provisoire «, comme le souligne l'auteur. Le sujet en est le désir. Mais pas le désir abstrait, de n'importe qui, à n'importe quel endroit, à n'importe quel moment.oeil se trouve en outre, que ce désir circonstanciel est photographié ; que la photographie, sans être montrée, invite à une fiévreuse description. Si l'image soustraite provoque ainsi l'imaginaire de l'auditeur ou du lecteur, c'est que le désir d'une personne pour une autre s'augmente avantageusement du désir du tiers conférencier qui a photographié, qui a décrit et qui maintenant nous parle.
Martin Melkonian est l'auteur d'une quinzaine d'ouvrages. Il a publié aux éditions d'écarts : Conversations au bord du vide, Edward Hopper luttant contre la cécité, Les corps introuvables, Un cahier pour se perdre, L'enfance du regard.
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La poésie n'appartient sans doute pas à la littérature et, sûrement pas, aux littérateurs. Il est aussi banal, mais nécessaire, de rappeler qu'elle est, même quand elle se prétend témoignage social, la part la plus secrète de l'écriture. Et si la lecture publique des poèmes est une tradition nouvelle a laquelle je suis loin d'être hostile, nul ne contestera que cette lecture publique ne peut être que l'antichambre de la « lecture silencieuse », celle qui est faite de lenteur, de complicité et d'intimité.
Dès lors, comme l'écrivait Fernand Verhesen, le lecteur ne lit jamais un poème, mais il « se » lit dans le poème.
Le poème réussi, à mon avis, se tient donc dans cette lisière fragile, toujours menacée, toujours aux limites de l'équilibre entre moi et l'Autre, entre lisibilité et mystère, entre symbolisme assumé et réalité entrevue. / J.L.W Jean-Luc Wauthier est né à Charleroi, en novembre 1950. Professeur de Littérature, il a publié une vingtaine d'ouvrages, poésie, prose, monographies qui ont obtenu de nombreux prix.
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L'attente... l'absolu - die erwartung... das unbeschrankte
Allain Gaussin
- Ecarts
- Hasta Siempre
- 1 Octobre 2009
- 9782912824912
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" Ces cris graffités avec les ongles dans la lèpre des mur-mures n'ont jamais été que des cinés sur fond de cavernes. Aujourd'hui, ils sont livrés, inscrits. Ce " La " dit donne à ces lambeaux le ton d'un bonheur, celui de pouvoir dire merci à ceux qui me l'ont permis. " MBH.
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Sorte de lettre à ses acteurs où la dramaturge et metteur en scène tente de dire ce " mal aux autres " qui la pousse à travailler l'écart pour, parler au Contraire, dire l'Autre de vive voix, à feu vif ; dire l'impossible du dire que le corps ne consent pas à trahir.
Désaxer, rendre l'asphyxie asphyxiante pour en épouser la Source, ouvrir la voie à ce qui passe.
" Le métier d'acteur est Profession de Foi, c'est ce qu'ont toujours signifié pour nous les choix de Télos. " MBH
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Ce sont de très beaux, vrais et bons poèmes.
D'une discrétion et d'une humanité bouleversante, un langage voilé, lavé, une sorte d'aquarelle du silence, et la blessure, le chagrin...
A l'écoute de l'inaudible, dans l'attente des échos, sans aucune mièvrerie, l'amour et la chaleur sont là...
Pierre Seghers Poèmes d'un vrai poète, c'est-à-dire toujours la même chose, la même voix, et jamais le même chose, le même instant, le même ton.
Claude Roy