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Editions Du Cygne
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Je crois qu'il est sain d'assister la dernière apnée de soi-même . Et l'on ne peut pas ne pas relire.
(Christian Angelet)
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Ces poèmes, écrits à vingt années d'intervalle, ne sont pas des poèmes de deuil où s'écrirait une élégie ou une déploration. La douleur perce dans la voix, à mesure de l'effort pour écrire les affects qui m'écrivent et les gestes d'une voix intérieure où le tu écrit le je. Ces poèmes sont alors une suite de gestes tendus vers toi.
Sans doute n'y a-t-il pas à écrire contre mais surtout à même la disparition, avec cette voix qui scrute la présence. Pour laisser parler : à la manière de l'enfant qui, parlant à l'arbre qui croît en lui et devant lui, rend présents les êtres aimés disparus. -
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Recherche 9782849242643
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Ce recueil est destiné aux grands curieux qui s'adonnent à une chasse sans répit de l'alchimie des âmes et des choses belles... des âmes des choses aussi. On y trouve dans le feutre des velours les vertiges collectionnés aux éclats d'une quête épicée et enivrante.
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« L'origine du monde », toujours, nous échappe. Nous ne savons peu de son lieu et de ce qui s'y passe. Comment a-t-il prise sur nous ? Comment l'atteignons-nous et comment nous touche-t-il ? Nous ne résolvons jamais ces questions. C'est pourquoi il ne faut cesser d'en parler même si on ne fait que tourner autour. Chaque texte devient ainsi un abcès de fixation sans devenir pour autant le lieu où les fantasmes poussent comme du chiendent. Simplement, toute littérature naît de là. Il convient de voir dans ce jeu de double bande, ce qui s'y passe et qui est si fragile. Ce qui s'y passe ou pas.
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« Le temps, la vie en écharpe, l'incomplétude du vécu, la nostalgie d'une enfance pas toujours épargnée par les privations, lesdésillusions, la mer qui est consubstantielle au poète, autant que le désir (la mer dont les laitances sont des poèmes), la femme, unefemme, voilà qui constitue pour moi l'essentiel d'une démarche poétique, que je qualifierai, sans trop de risques, d'existentielle. » Gérard Cléry
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De brins et de bribes
Werner Lambersy, Jean-louis Millet
- Editions Du Cygne
- Le Chant Du Cygne
- 9 Décembre 2010
- 9782849242087
D'un côté la spontanéité de la rencontre du pinceau, de l'encre et du papier.
De l'autre la maîtrise d'une forme particulière d'expression poétique, le haïku.
Mais tout reste une histoire de trait et de nature dans l'ici et maintenant.
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La guerre, ce ne sont pas seulement des souffrances, la douleur, la mort et des chiffres, c'est avant tout la perte de la parole comme moyen de se situer dans un univers potentiellement, partiellement au moins, explicable, transparent et communicable. Les assassins ont en effet bouleversé le sens des mots. « Le travail rend libre » était l'inscription cynique du portail d'un camp d'extermination.
La littérature, l'art en général, repose sur un fond de déception, de tristesse : le monde n'est pas comme il faut. Dans ce sens, toute oeuvre poétique est l'utopie d'un monde en ordre ne serait-ce que parce qu'elle est forme. Elle est donc contradiction. C'est pourquoi le titre que Denis Emorine a donné au recueil est justifié. Aujourd'hui, après Auschwitz et en face de tant de tueries plus récentes, un poème doit faire mal, doit être une blessure saignante qui ne se ferme pas de sitôt. La douleur nous tient en vie.
Extraits de la préface d' Armin Volkmar Wernsing
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Denis Emorine est comme tiraillé par les hésitations de l'âme slave et les masques interchangeables d'une individuation identitaire ambiguë. Depuis longtemps, Emorine écrit (il est né en 1956) et ses poèmes savent traduire, dans la sobriété des images, l'essentiel du drame humain. À l'heure où tant de faux poètes jouent les génies de salon à force d'hermétisme adorateur du nombril, mettre en lumière un tel auteur est une évidence. Tout en évitant les clichés attendus sur le « cosmopolitisme » et la polyvalence des cultures, saluons donc ce grand voyageur passionné de Russie et d'Espagne, et de romantisme en général. Sa langue est belle, son inspiration humaniste, et quand il prône le rapprochement entre les peuples il sait éviter les pièges des apparences et dénoncer le despotisme totalitaire sous toutes ses formes.
Jean-Luc Maxence
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Auteur d'une extraordinaire richesse, « profileur » des sentiments humains, qui n'hésite pas à s'enfoncer dans les marais de l'âme, Hervé Fautré aime jouer avec son lecteur tout en lui offrant dès l'entrée du labyrinthe un fil conducteur.
Les textes qui sont rassemblés dans ce recueil ont été écrits à des époques différentes, parfois à des décennies les uns des autres. Mais, même si, comme dans son premier ouvrage, le poète se refuse à se limiter à une forme et à une pensée uniques, il n'en reste pas moins que l'ensemble crée une unité sémantique.
Je vous souhaite de prendre à la lecture de ce recueil le même plaisir que moi, mais rappelez-vous que si l'homme derrière l'écrivain n'est pas anodin, sa création l'est encore moins...
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Si toutes les veuves ne sont pas joyeuses, elles ne sont pas forcément tristes pour autant. Parmi elles, une s'était mariée en rouge : elle déplace les états d'âmes par le miracle de son écriture. Le pourpre lui va donc comme un gant. Pas n'importe quel pourpre : celui du sang.
Quand elle écrit il faut lui répondre d'une même encre, attendre que cela passe et voir ce qui en coule. C'est en le découvrant que l'on reprend conscience. On ne retire plus le corps de l'écriture : on l'accepte même si le sexe en reste l'énigme suprême. Cela dessine un bord d'ombre, un duvet si fin qu'il tombe en fragments. Mais demeurent l'interstice, le passage. Ils ouvrent à une étrange intimité. On s'y laisse emporter.
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Djalila Dechache donne ici une existence profonde aux instants, aux émotions, aux êtres (sans jamais pour autant faire acte de souvenir ou de sensiblerie). La phrase est juste, parfois lapidaire, elle s'étire en un vocabulaire riche et voluptueux.
Ce recueil, alors que d'autres emmèneraient un peu de terre natale dans un petit sac ou bien quelques semences à replanter pour transporter avec eux un peu de leur terre de là-bas... au-delà des mers, est surtout un témoin d'heures sombres et difficiles.
Dans Terre arable, textes pour être lus à haute voix, dits pour soi-même, pour autrui, une parole s'affirme pour la seconde fois sur le papier, des mots qui s'enlacent comme d'élégants calligrammes arabes...
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Coquillages africains en terre d'Europe
Elvire, Maurouard
- Editions Du Cygne
- 10 Décembre 2008
- 9782849241141
La poésie d'Elvire Maurouard nous invite sur ces îles battues par les influences cosmiques, où résonnent toutes les rumeurs de la terre. La femme poète trouve les mots qui réjouissent, les expressions vivantes, et sa phrase bien construite, coule harmonieuse et rythmée. L'auteur de Jusqu'au bout du vertige s'adresse au citoyen comme à l'individu.
Avec l'Afrique, les souvenirs affluent, se dressent comme des rochers sur l'horizon, avec douceur ou dureté. Ces Coquillages africains en terre d'Europe cherchent un lieu qui leur permettraient d'habiter une terre, et de ne plus être un perpétuel naufragé en quête d'un port inaccessible. On le sait, Afrikiya fut jadis romaine. Et si la déesse Europe ne renie pas ses ascendants phéniciens, c'est pour nous rappeler qu'une fraternité secrète lie tous les hommes. Désertant les rivages de la guerre, ces coquillages vont effleurer une pierre, celle qui servira à sculpter les contours d'une humanité enfin réconciliée.
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Destin d'un ange ; la fourche
Jean-jacques Marimbert
- Editions Du Cygne
- 26 Novembre 2012
- 9782849243015
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Place à la joie à travers l'hommage aux enseignements spirituels qui éclairent le chemin et permettent au regard de changer de perspective. L'auteure rend hommage aux sagesses universelles, actualisant leurs beautés par ses propres mots, les priant de continuer à enchanter. À éveiller. Un mystique continuum...
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