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Le Manuscrit
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Saket Walid, une plume sans port,un cri condamnant les nouvelles formes de L'absurde humain (extrémisme,violation des droits naturels de l'homme) Il s'agit d'éveiller un monde régi par l'incommunicabilité où l'éthique n'est plus et où l'innocence s'est perdue dans le tumulte des canons . C'est une poésie qui défie un monde ayant assassiné et l'Espoir et la Vérité . Elle démystifie la mégalomanie de l'homme moderne qui ,têtu, a fabriqué par ses propres mains un inextricable Enfer.C'est une poésie qui met à l'épreuve tous les stériles rêves ayant ainsi pour credo une quête inlassable , au fond de la morne existence humaine, de l'Homme modéré.
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Accoudé à ses rêves, Viorel Zegheru se trouve de l'autre côté de la langue, derrière les mots. C'est une nuit constellée d'éclats du monde, la neige, le ciel, la lune, une fleur, une feuille, un miroir. Il explore les sens, les voies, la vibration de la langue sur la page. Deux voix, deux langues. Ce recueil de poème fait alterne textes et illustrations, langue française et langue roumaine. Les poèmes sont courts et denses. L'efficacité des mots prime. Toujours les poèmes sont à mettre en regard avec leur équivalent roumain, avec les illustrations de Stéphanie Lelievre. Un jeu de miroirs sans fin, un univers baroque de correspondances filées qui fait renaître le monde.
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L'auteur a écrit ces poèmes entre l'âge de 15 et 27 ans, environ... C'était pour lui un moyen de remédier à sa solitude et à son mal de vivre d'adolescent... Il les dédie à tous les enfants et grands enfants, solitaires, en mal d'exister! En leur souhaitant une bonne lecture et un moment d'évasion... L'auteur a toujours écrit ces poèmes avec l'élan de son coeur et sans dictionnaire de rimes, ce fut un besoin d'écrire comme pour survivre à une vie trop monotone et solitaire... ce fut pour créér un lien entre son univers et le monde, le monde extérieur, un monde bien dur parfois, qui l'effraie toujours, meme à 44 ans... mais, parfois, dans ce monde il y a quelques rais de lumière, qui éclairent la pénombre de notre coeur effrayé...
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Transmettre l'innommable tragédie de la Shoah autrement. sous forme de poèmes afin que leurs rythmes s'impriment dans la mémoire des jeunes, afin qu'ils sachent et soient vigilants, afin que plus jamais n'advienne une telle catastrophe, telle est la mission que s'est donnée l'auteur car un bébé caché se doit de devenir un passeur de mémoire.Quelques portraits, quelques missives, quelques pensées, crient le monstrueux assassinat impuni de tant de familles innocentes mais coupables cependant aux yeux des fanatiques nazis parce que juives.
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Un témoignage bouleversantL'auteur nous offre un texte authentique et sensibleL'auteur retrace le temps de sa vie devenue fugace depuis le décès de sa Mère, l'unique personne de toute sa famille dont le nazisme ne s'était pas emparé pour la livrer aux flammes.Le retour axiomatique de ce désastre la poursuit constamment : elle retrouve le chemin lancinant de la tragédie juive, et le drame de sa survie inutile. La poésie peut peut-être apaiser l'écho dramatique de la période des massacres. Mais l'écho du temps paisible devient fragile, et il est difficile de croire qu'avant ces massacres inventés pour déterminer l'inutilité de l'existence juive, il était agréable de vivre.
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Palimpseste : n.m.parchemin manuscrit dont le texte primitif a été gratté et sur lequel un nouveau texte a été écrit.(grand dictionnaire encyclopédique Hachette, nouvelle édition mise à jour 1996). Réécriture au dessus de formes anciennes, voilà bien de quoi il est question dans ces poèmes.Mais quelle que soit la forme empruntée,le but recherché est toujours le même:sublimer une douleur! L'amour est au coeur de ce recueil,depuis le désespoir de l'amour perdu jusqu' au souvenir des moments heureux.
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Qui a écrit que la poésie engagée était morte ? Le 4 novembre 2008, Barack Obama est élu dans la liesse générale, trois mois plus tôt, Mahmoud Darwich mourrait dans l'indifférence des média. Plus qu'une révolte de jeunesse, ces vers posent un regard critique et lucide sur les drames de l'Histoire et les excès de la morale bien-pensante.
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Au fil du manuscrit, on assiste au cheminement de l'individu dans la vie, à travers ses préoccupations, la construction de sa personne et les divers plaisirs qu'il peut éprouver dans le rire, la musique, la 0701...Une 0701 : La rivière s'écoule, silencieuse,survolée de papillons blancs. La nature a des émotions de douceur,l'hirondelle dessine par ses ailes un chemin irréel.
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Fatoumata Kane, romancière, nous fait maintenant découvrir ses talents de poète. ce recueil de poèmes,Senteurs terrestres est un cahier de poésie, une sorte d'hymne à la vie, à l'amour, à la mort. Ce sont quelques reflexions à la fois simples et pertinentes sur notre condition humaine. On passe des joies de l'amour, aux incompréhensions de la politique, sans se perdre, en prenant tout simplement la liberté qu'offre l'auteur de savourer chacun des poèmes comme un cadeau. Voici un livre à lire et à garder sur soi.
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En vers ou en prose, longs ou ténus, cris de désespoir, voici un recueil des poèmes d'un monde sans soleil ni couleurs où palpite une lueur solitaire aux prunelles d'une femme oubliée.
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Le Dr Gaston Lévy est l'une des grandes figures de l'oeuvre de secours aux enfants (OSE) durant la Seconde Guerre mondiale. Alsacien, il est tôt sensibilisé aux périls qui menacent au-delà du Rhin. Aussi mit-il d'abord dans les années 1930, ses compétences médicales, spécialisées dans la pédiatrie, au service des réfugiés juifs fuyant les persécutions antisémites de l'Allemagne et de l'Autriche. Après l'inconcevable défait française, il est dans la zone dite libre avec sa famille et se rapproche de l'OSE. Son dévouement va très rapidement lui offrir les responsabilités à la hauteur des besoins de l'organisation caritative.
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Tu me manques à en souvenirs, J'écorche tous mes murs de ton nom Pour que tu sois partout, ou pire, Pour renier ton absence, mon abandon.
Toi qui es si loin, A des années-étoiles, Je pourrais décrocher la lune Pour ne rien ressentir au moins.
J'aimerais que tu m'écoutes, Que tu mesures la longueur de ma douleur.
Il y a tant de jours dans une minute, Chacun d'eux fait une rayure sur mon coeur.
On ne décide pas, Aimera, aimera pas.
Qui t'arraches le coeur, qui te réparera.
De la mélancolie, on ne sait pas.
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Cher lecteur, toi qui aimes la poésie, ceci est un recueil de poèmes que j'ai écrit au début des années 2000. C'est à cette époque que j'ai commencé à m'aventurer seule sur les chemins encore vierges de la poésie vive, à travers sentiments et ressenti, fantasmes et imaginaire...après une chute vertigineuse dans un profond mal être. a toi de découvrir mes vers à travers ce premier recueil. Depuis j'ai fait d'autres chutes, d'autres renaissances et de nombreux autres poèmes sont à venir. La vie est un voyage, la vie est un passage . Carpe Diem.
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C'est l'histoire d'un jeune garçon qui, pour fuir les souffrances de sa solitude, se réfugie dans le monde imaginaire qu'il a créé. La prédominance du personnage, de ses rêves, va faire qu'il ne saura bientôt plus lequel des deux vit dans l'autre. Mais sa croyance et sa confiance en ce monde vont faire que celui-ci va lui ouvrir ses portes et lui procurer un réel refuge. Mais pour vaincre sa douleur, il lui faudra aller chercher le remède dans l'imaginaire grâce aux pouvoirs de son inconscient réveillés par cette croyance et cette confiance qu'il a placée dans son monde magique. Seule une épée issue du passé pourra lui ouvrir les portes de son rêve. Bien que romancé, le fond de cette histoire est accessible à tous par l'explication des pouvoirs cachés au fond de chacun.
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Une larme de tristesseCoule lentementLe long de ta joue blèmeIl suffirait simplementD'un bouquet de "je t'aime"Pour que renaisseNotre amour engloutiPar les aléas de la vie.
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A travers 69 textes, partez à la découverte d'un monde obscur où les démons qui y habitent se nomment quotidien, argent, mélancolie et connerie. Jalonné de paradoxes et de jeu de mots, vous y rencontrerez l'amour, la mort, l'humour retors, le rêve, le cauchemar, la folie, l'empathie, la poésie... Ce monde, c'est le mien, le votre, le notre et l'autre.
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Dans un village imaginaire, appelé Stérope, évoluent des êtres de petites statures, appelés Stéropos. Urico et Stopo sont des enfants Stéropos. Ils découvrent des vallées de géants : Appes, Libellules (Coudiss), Papillons, Mimas. Les Appes sont de grands lutins ayant des pouvoirs magiques. Le prince des Appes possède un moyen de transport magique : Les rubans. Les Coudiss sont des libellules agressives. Elles enlèvent Stopo, et, déclarent la guerre aux papillons. Une maison inhabitée, dans le village de Stérope, attire l'attention des enfants. Ils entrent dans cette maison, un passage leur fera découvrir un village sous la colline. Ils apprendront l'histoire des géants de la vallée verte.
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Des Humeurs vagabondes... Un vagabondage en soi, un dédale que chacun connaît bien en s'éclairant lui-même, avec ses tableaux, ses visiteurs, ses recoins habituels, ses lieux préférés. Ces humeurs sont les pièces de la mosaïque de vie, plus ou moins originales ou banales, qui se recoupent et se contredisent. Elles sont les couleurs du temps, c'est pourquoi elles nous prennent et nous laissent entre les chemins et les écueils quotidiens. Des voies s'éclairent...
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Rivale se présente à tous ses âges : tantôt femme-enfant, tantôt écolière drôle, entre les deux son coeur balance. Elle observe un couple de danseurs vieillis et desséchés qui renferment jalousement le souvenir d'une Gisèle évanouie. Elle cite ceux qu'elle aime, Anita, l'Innomé fait de vif-argent. Elle décline je t'aime en caractères gras. Elle rédige un guide hôtelier et gastronomique à l'attention de passants avides d'onirique. Elle est née d'un père et d'une mère.
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Invitation au calme/Envahi par les chants incessants des criquets/Par un' longu' plainte canine qui s'entête à s'offrir/Et là-bas loin devant par le son déformé/D'un maquis qui s'anime quand le monde va dormir/Je contemple la rue et son bel éclairage/Qui la rend si docile quand on peut voir au loin/Un crapaud se remue comme on va à la plage/Une chatte file fragile visiter ses voisins/Il fait doux comme toujours quand la pluie ne vient pas/On est à la saison qui tous les jours hésite/A l'heure où tout autour Morphée a pris le pas/Endormant les maisons la solitude m'invite/A ce drôle de bonheur de contempler la place/Vide de présence humaine seule me parle la nature/Il est tard deux trois heures une douce torpeur m'enlace/Je vais sans lutte vaine arrêter l'écriture
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Enfant, Eve se réinvente chaque jour : Emma, Antonella, Giuseppa... Des filles, des femmes heureuses bien loin de son quotidien miné par une mère désabusée. Adolescente, en allant au cirque pour la première fois, elle découvre enfin le monde auquel elle s´identifie. Sa fascination pour la trapéziste Magdalena Maggione liera pour toujours sa vie à la sienne. Epousant la forme rhapsodique du souvenir, Saltimbanque fait revivre l´itinéraire d´Ève de l´enfance à l´âge adulte, entrecoupé par la destinée fascinante et tragique de Magdalena.
Estelle Bonnier-Bel Hadj, pour qui et avec qui ce texte a été écrit, est comédienne, metteure en scène et professeure au Cours Florent.
Déjà auteur de nombreux ouvrages, dont La vie de Mathilde Sincy (Prix du Premier Roman en Ligne 2008) et Fantaisies d´été (Prix du Roman en Ligne 2010) Dominique Chryssoulis signe avec Saltimbanque un texte sur le cirque, sur l´art et sur la complexité paradoxale de tout désir.
Après des lectures dans le cadre du festival Off d´Avignon 2010 et à Paris, la pièce a été présentée au public dans une mise en scène d´Elisabeth Commelin.
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Quatre poèmes en vers libres qui présentent la marche d'un couple vers le château de Dieu, une ascension spirituelle avec les étapes du chemin, les difficultés sur la route, les leçons reçues, les progrès des pèlerins. Ces poèmes contiennent une grande richesse d'idées et sont d'une lecture agréable.
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A chaque jour du mois du solstice d'été sa poésie. A chaque jour sa couleur. Prose ou vers ? Crète ou Martinique ? Spectres et anciens ... Noir et blanc ... Amour et beaux jours ... Bureau ou nature ? Anniversaire ou mensonges ? Lui et elle. Planètes et fruits à pain. A chaque jour de juin, vent et soleil.
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Les noeuds sont des moments auxquels il faut faire des choix, prendre des décisions, moments auxquels interviennent dans une vie certains événements pouvant modifier le cours de celle-ci: rencontre amoureuse, décès... Les poèmes ainsi sélectionnés dans cet ouvrage « léopoésie 3, les noeuds », illustrent en toute évidence ces situations. Enfin, l'auteur nous invite à faire un petit tour dans les Caraïbes. Léo Bvegadzi est aussi auteur de ces livres de poésie: « léopoésie 1, Mes délires » et « léopoésie 2, l'éventail » parus aux Éditions Le Manuscrit.