Dans un mécanisme de sortie d'un monde idéaliste, j'ai conclu d'accepter certains écarts que je ne concevais pas auparavant. Car je ne peux changer tout, simplement.

Une femme sans repères ; ou qui les perd peut-être bien. Un étranger insinuant invraisemblablement son habituel calme environnement.

Deux êtres rapprochés par un sentiment, une force ; mystérieusement attirés l'un l'autre dans un vertige troublant, épris tous deux d'une animosité étrange.

à la fois calme et agitée, une atmosphère singulière se dessine autour de ces individus ; elle les enveloppe, les berce, parfois renverse tout et les fait chavirer.

Dans la cité Dans la ville, je retrouve mon refuge détruit Et la mélancolique solitude de mes poèmes.
Dans la désolation du perpétuel bruit, Se dressent les marches souterraines Des édifices mornes et monotones D'une époque d'angoisses humaines.

Les lueurs des affiches dans la nuit, Lubriques et fatidiques blasphèmes Se miroitent dans les rides de la pluie.

" Les mots me fuient.
Les mots me manquent.
Et sèche l'encre de ma plume.

Il y a les mots qui jaillissent.
Et ceux qu'il faut aller chercher.
Ceux qui préfèrent se cacher.
Ceux qui arrivent aux prémices.

Il y a les mots de silence.
Les mots de joie, les mots de paix.
Ceux qui sont polis, mais suspects.
De désespoir, de violence ".

"?Mon coeur d'ambre.
Il est aussi beau que celui qui me l'a donné.
Les gens en sont émerveillés.
Et moi, c'est devant toi.
Que je suis émerveillée.?".

Dans ce recueil fort et émouvant, Nathalie Talandier explore l'amour dans sa dimension divinement charnelle. Des mots simples, bruts, qui décrivent l'émotion dans sa fragilité.

Antoine Trémolières a été chercheur en biologie au CNRS où il a dirigé pendant plusieurs années, à Gif-sur-Yvette, une équipe travaillant sur la photosynthèse.

Dans l'ouvrage qu'il vous propose, il a audacieusement cherché à réunir ses trois mondes : le scientifique, le poétique, le spirituel. Sa démarche est celle d'un agnostique. Il dit simplement sa conviction, à la fin de toute une vie de chercheur : que la science, rationaliste et matérialiste, atteint ses limites et que l'esprit humain va devoir inventer de nouveaux concepts pour avancer dans la compréhension de l'Univers et de la place que nous y tenons. Sa conviction est que l'Univers demeure en devenir et que la liberté y est encore inscrite. Les mondes scientifique, philosophique et spirituel vont-ils enfin pouvoir se rencontrer pour entamer un dialogue fructueux ? Voilà l'espoir de l'auteur.
Croyant que la poésie est aussi une voie d'accès à la compréhension de l'Univers, il y a inséré des poèmes personnels, mais aussi des écrits du grand poète et chanteur québecquois Gilles Vigneault.
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" Ce soir, je suis seule dans mon lit Seule face à la nuit Seule face à ma vie, Mon esprit se languit, fuit.

Il se libère, arrive dans un monde parallèle Un monde nimbé de lumière, Je vois apparaître un être auréolé de lumière Possédant une paire d'ailes. "

Je vous ouvre mon refuge entre rêves et réalité. Arpentez-le comme bon vous semble. Vous êtes les bienvenus.
Par une diversité de sujets tels que la mort, l'amour, le mal-être et la religion, des histoires se créent et transcrivent une atmosphère tantôt pesante, tantôt légère.

L'attente folie de l'amour L'attente ruine de la patience L'attente épuisement du désir L'attente terreur de la solitude L'attente destructions de l'être.

Ambre est le reflet de mon parcours du Liban, pays des cèdres, à la France.


A mon père, un homme extraordinaire, source de mon inspiration, le grain de folie dans ma raison.
A ma grande soeur. Mes enfants sont les tiens.
Ambre est pour toi...

Etoiles.
Baisers de nuit.
Voix parfumées.
Rêves de pluie.
Voile d'étoiles.
Rêves d'azur.
Voie sans escale.
Vers l'infini.
Vous êtes belles.
Diamants d'oubli.
Perles de rêve.
Perles de nuit.

Je suis née le 28 septembre 1943 à Oran en Algérie d'un père croate naturalisé français et d'une mère française.

Malgré toutes les guerres, je veux croire encore et tojours en l'humanité.

APRES une longue maladie, Yves Hillien a découvert l'écriture en convalescence. Cette vocation tardive lui a permis d'explorer son imagination, vers la voie d'un mieux-être.

" Dégrader l'homme ?
L'endormir ?
Soutirer son consentement ?
Faire vaciller son statut de sujet libre quand une erreur judiciaire l'écrabouille.
L'individu tombe dans un engrenage dont il essaie de sortir en gardant sa dignité de personne singulière.
Il crie : Non, je ne veux pas perdre mon âme ! " Cet ouvrage évoque la fragilité des rapports humains, dans une société moderne où l'intérêt individuel et le bien commun s'articulent difficilement. A travers ces textes profonds et lucides transparaît l'idée que l'honneur au féminin est la part incontournable de la dignité de l'être. Ainsi, l'homme et la femme s'unissent pour combattre un monde hostile.

Des gens que je croise, ceux qui m'ignorent, et ceux qui m'inspirent, ceux qui chaque jour vont, chemin faisant, toujours un peu plus vite dans les rues, ceux qui amorphes cessent d'avancer, ce sont les marginaux, les normaux, les méchants, les gentils et les maudits que j'aimerais remercier. Sans la vie qui grouille en ce lieu, jamais L'amour mort ne serait né. Alors merci, ma muse, mes amis, mes ennemis, merci à vous tous d'être tellement durs à endurer. Céline disait à votre propos : " Ils sont lourds, si lourds ". Oui, répondrais-je, et tant mieux. Maintenant, ô lecteur, accepte ce recueil comme il est, et surtout prends-le simplement. Ouvre-le, ferme-le, lis-le, ou brûle-le, mais prêtes-y attention, vis-le avec autant d'intérêt que je vis au quotidien.

Baudelaire, Ferré, poètes illustres, inconnus, talentueux, mésestimés, mes derniers mots sont pour vous : merci d'être et d'avoir été.
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" Le jour où tu m'as donné la main le jour où j'ai pris ton regard le jour où j'ai embrassé tes cheveux le jour où mon coeur a battu plus fort le jour sans lendemain le jour de grand tintamarre le jour où tu m'as voulu heureux le jour où tu pris ton essor Ce fameux jour d'octobre Où tu m'as donné la main " Dans cet ouvrage écrit en 1968, Jean-François Desmoulin-Catonnet revient sur sa jeunesse, et plus particulièrement de ses rêves d'amours. De la fontaine Saint-Michel à Odéon, on suit ses déambulations poétiques et les méandres du désir. À travers lui, c'est toute une génération qui s'exprime : celle qui découvre la liberté de vivre, de croire et d'aimer.
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Même si l'espoir naît devant la quête d'indulgence et de mansuétude, Même si une force émerge pour organiser la lutte contre la cruauté et l'avarice, Une absurde équation aux multiples inconnues monte du fond des âges.
Elle oscille entre le cri qui déchire et le silence qui exaspère.

Cet énigme est le fardeau séculaire d'une humanité qui ne parvient pas à l'harmonie et qui se limitera peut-être à n'avoir été qu'un facteur transitoire sur la terre.

La porte des saisons va bientôt se rouvrir Sous la poussée de juin. Et l'été va venir Ouvrons grand nos fenêtres ! Laissons entrer la brise Disséminant dans l'air des effluves qui nous grisent " Dans ce recueil, j'ai essayé d'établir un parallèle entre le cycle de l'année solaire et celui de l'existence humaine, en y introduisant histoires, sentiments, souhaits, regrets, observation des hommes dans leur essence et dans leur activité créatrice et professionnelle. Et surtout, beaucoup de rêve et d'optimisme, même s'il m'est parfois arrivé d'y déroger. "

Le bonheur ne naît-il pas parfois d'une réelle souffrance ?
La mère ne souffre-t-elle pas d'ailleurs avant d'enfanter ?
Enfanterons-nous un monde nouveau ?
La jeunesse germe de ce renouveau.

Alger, Lisbonne, Paris, Varsovie... et autres coins que les GPS n'arrivent pas à localiser.
À vingt ans on avait des rêves et des espoirs pour un monde meilleur.
À quarante on a eu les moyens de réaliser ces rêves, mais nos rêves ont changé.
Que nos héritiers remplissent leurs bagages avec des rêves ou des... espoirs.

Rosaria Montisci est née en Sardaigne. Passionnée par la psychologie et les relations humaines, elle s'intéresse depuis de nombreuses années au développement personnel.
Ses poèmes sont des instantanés sur des situations communes ou rares, des flashs d'émotions saisis selon son inspiration.
La société l'inspire et fait l'objet de commentaires doux amers, en vers libres.